Améliorer l'efficacité quotidienne des organisations


Notre analyse

Il ne suffit pas que les hommes et les femmes au travail soient correctement hébergé(e)s dans le navire : encore faut-il qu’ils sachent quelle est leur place ; encore faut-il que cette place coïncide avec les souhaits de la capitainerie et les possibilités des marins ; encore faut-il que les perspectives de demeurer dans le navire soient motivantes…


C’est l’organisation dynamique, qui inclut les processus, les procédures, les interfaces entre fonctions, mais aussi et surtout la gestion des Ressources Humaines au sens large : carrières, rémunérations, plans de formation, etc.


Améliorer l’efficacité de l’organisation, c’est aussi s’intéresser aux détails. C’est l’organisation au quotidien. Bureaux encombrés, dossiers mal structurés et inaccessibles, emplois du temps surchargés, imprévus déstabilisants, disques durs avec des arborescences incompréhensibles pour un autre que leur utilisateur...


La vie quotidienne des entreprises, des administrations... et des ONG souffre de ces « petits maux » dont on ne parle jamais et pour lesquels la demande d’amélioration est rarement explicite. Le besoin est pourtant là. Bœspflug & Associés mène parfois dans ce domaine des interventions courtes, à l’occasion d’interventions réputées plus convenables. Sa conviction et son expérience l’incitent à proposer à ses donneurs d’ordres des actions discrètes d’amélioration des écrits internes, de restructuration des arborescences informatiques ou de structuration documentaire, qui sont toutes des conditions sine qua non de réussite du « Knowledge Management ».


C’est la dimension « jardinage-plomberie » de ses interventions.

« Soignez le détail, vous arrangerez l’essentiel » disait un vieux dicton.


Le besoin actuel

Tout ce qui est proclamé aujourd’hui sur le Développement Durable ne marchera que si les salariés y croient... et trouvent de quoi satisfaire en interne leurs besoins de motivation (condition sine qua non de la performance économique).


Les rapports annuels de DD et RSE sont muets sur la question.

Les DRH sont dévorés par des calculs de masse salariale et par le « dialogue social ».


L’accent mis sur la Corporate Social Responsability (CSR, RSE en français) permet aux entreprises (pour combien de temps encore ?) de se défausser du « social ». Couche d’ozone, énergies renouvelables, investissements solidaires, ah que ça fait du bien !


Le Sociétal relevait des Présidents. Le Social relève(ra) des managers.

Les générations qui montent veulent satisfaire leurs besoins d’hygiène (salaire, primes, statut, conditions matérielles…) et équilibrer leur vie mieux que leurs aînés.

La crise est passée par là, renforçant l’exigence d’un nouveau management.

Aucune entreprise ne peut plus échapper à la question de son « efficacité sociale ».


Missions types

  • Concevoir et démarrer une Ecole interne
  • Remettre à plat le système de classifications des non-cadres
  • Mettre en place des entretiens individuels annuels dignes de ce nom
  • Redéfinir les missions de la DRH

Quelques interventions récentes :

  • Réaliser un audit préventif de l'organisation et du fonctionnement (plate-forme de services industriels)
  • Concevoir et accompagner un plan de progrès pluri-annuel (secteur de l'immobilier)
  • Refondre, organiser et documenter un processus global d'innovation (polymères de performance)
  • Améliorer l'interface Maintenance Exploitation (secteur de l'industrie lourde)
  • Améliorer l’efficacité de la coopération quotidienne entre 2 filiales (leader de l'immobilier)